Déménagement

Hier soir, nous avons passé notre dernière nuit dans notre logement de Yogi sur HareKrishna Road. Ce soir, nous emménageons dans notre nouvel appart. Avec Jean-Hugues, Sophie et Julien. Je ne vous ai jamais parlé de Julien. C’est un Parisien tout blond, étudiant à Central Lyon. Mais à part ça, il est super sympa. On rigole bien tout les deux. Le nouvel appart, disais-je, avant de m’interrompre moi-même tel un goujat (non, ce n’est pas l’habitant du Gujarat), est dans le même genre que l’ancien. Mais dans la rue d’à côté. Et il est vraiment immense ! Tellement immense que deux autres collocs français vont nous y rejoindre dans 2 semaines… V’la l’bordel que ça va être !

À part ça, aujourd’hui je suis vraiment une loque, moins productif, tu meurs !
Tout ça parce qu’hier soir on est sorti entre français (et avec mes potes iraniens Hassen, Moustapha et Yassen) au Kiva lounge Bar. Une bonne petite soirée jusqu’à minuit, pépère. Les bars arrêtent de servir à 11 h ici . Minuit, quoi ! Et je suis mort. Je tiens plus le rythme. Ça doit être la chaleur moite, ça me casse grave.

Au fait, j’adore le Blog, c’est tellement narcissique comme truc, ça permet de parler de soi et rien que de soi pendant des pages entières sans être interrompu. J’adore !

Et puis, j’adore lire vos commentaires, sentir les miens autour de moi (même si je l’ai déjà dit tels ceux qui subissent leur époque…). J’aime bien aussi lire les blogs des autres, les commenter, recevoir des messages en retour. Ça donne le sentiment d’appartenir à une petite communauté privilégiée.

Et puis il y a des choses étranges…

Par exemple qui est mon visiteur au Laos ? Qui cherche « meuble Charlie Inde » sur google.ca ou encore « Charlie photos nu » sur google.co.in?

Pourquoi le pic de connexions est le jeudi entre midi et deux ? Et le plus étrange, qui sont les 102 personnes qui chaque jours lisent mon blog ?

En tout cas, chers lecteurs et commentateurs, inconnus ou amis, qui que vous soyez, merci d’assouvir ma soif de lien social et de suivre, volontairement, les émanations de mon ego démesuré.

Je vous aime !

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